Educatrice comportementaliste canin depuis 2017, je vous propose des cours en méthode respecteuse, bienveillante et efficace pour les chiens de tout âge. Ils ont lieu sur mon terrain à Grisy Suisnes ou à domicile dans le secteur de Grisy Suisnes, Brie Compte Robert, Ozoir la Ferrière et leurs environs.

Son collier risque de devenir illégal ? Il y a des solutions !

Pour l'instant la loi ne prévoit pas de délai d'application, du jour au lendemain vous pourriez devoir changer son collier. Préparez-vous dès maintenant avec des cours individuels adaptés à ce changement.

Découvrez les cours

Education

Education des chiots et des chiens adultes
Rééducation - Chiens réactifs, agressifs
Problèmes de comportement
Préparer l'arriver du chiot

Loisirs

Agility Fun - Hoopers
Dog Dancing & Tricks
Rallye Obéissance
Clicker Training

Bien-être

Récupération après agression
Soins collaboratifs - Medical Training
Fleurs de Bach - Soins énergétiques

Formations et tests

CAESC - CSAU - TAN - Pass
Monitorats de la CNEAC : MEC1 EDC MEC2
Prochainement : certificat de capacité (chiens catégorisés)

Récupération après agression pour le chien et son maître

La grande majorité des chiens agressifs sont des chiens qui se sont fait agresser. Pour éviter ça, en cas d'agression, je vous propose un rendez-vous pour gérer le traumatisme et remettre en contact avec des chiens équilibrés dans de bonnes conditions.

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Mes prestations : cours d’éducation canine à tout âge, rééducation, loisirs et sports canins, bien-être

Mes prestations : cours d’éducation canine à tout âge, rééducation, loisirs et sports canins, bien-être

Cours d’éducation chiot / chien adulte – Rééducation – Bien-être – Loisirs & Sports Canins – Formations et Pass – Expositions, confirmation… 

Mes méthodes d’éducation canine

Mes méthodes d’éducation canine

Je travaille en méthode amicale et positive, parce qu’elle est respectueuse des chiens et car elle est efficace rapidement et sur le long terme.

L’éducatrice comportementaliste canin

L’éducatrice comportementaliste canin

Educatrice comportementaliste, Pascaline Payette est titulaire de l’ACACED. Elle est expérimentée et travaille avec des chiens de toutes races depuis 2014.

Pourquoi Les Bonnes Manières ?

On veut tous un chien qui ait les bonnes manières : sage à la maison, qui ne tire pas dehors, sympa avec les autres chiens. Mais les bonnes manières, c'est aussi la bonne façon de communiquer et d'apprendre à son chien de façon à ce qu'il comprenne ce qu'on attend de lui.

Apprendre les bonnes manières

News

  • Quand on parle d’activité chez le chien, on pense souvent promenade, randonnée, course ou éventuellement sports canins. Des activités qui demandent à l’humain d’être avec son chien et de lui consacrer du temps de façon très régulière. On aimerait bien en faire plein, mais on n’a pas forcément le temps et parfois les circonstances font qu’on ne peut pas ou qu’on doit en faire moins. Il existe d’autres activités pour nos chiens qui peuvent plus ou moins se faire sans nous et qui permettent de dépenser son énergie, parfois même sans mettre une patte dehors. En moyenne, un chien a besoin de 5 à 7 heures d’activité par jour. On compte plutôt sur la semaine : 35 à 42h, qui n’ont pas besoin d’être réparties de façon totalement équitable entre les différents jours. Souvent, on peut en faire plus le weekend que la semaine et nos chiens peuvent tout à fait s’en accommoder. Voyons de plus près ce que peuvent être ces activités et comment réussir à en proposer autant à notre chien. Vous avez dit activités de chiens ? Quand on observe des chiens libres qui peuvent faire ce qu’ils veulent de leurs journées, ils vont vaquer à leurs occupations de chiens : manger se déplacer aboyer sécuriser leur espace faire le guet être avec d’autres chiens réfléchir se reproduire utiliser leur flair mastiquer lécher chasser jouer se battre… Et le reste du temps, il vont se reposer, ne rien faire ou dormir. L’activité n’est donc pas forcément en mouvement et elle n’est pas forcément en extérieur non plus. Dans cette liste il y a bien entendu des choses qui ne sont pas possibles dans un foyer humain, comme aboyer, se reproduire ou encore se battre. Il nous faut donc les orienter vers des activités qui lui permettent de dépenser leur énergie de façon acceptable. Les différences entre les différentes activités pour nos chiens Comme pour les humains, toutes les activités ne sont pas aussi fatigantes les unes que les autres. Le Dr Joël Dehasse, vétérinaire comportementaliste, a établi un classement et des coefficients pour pouvoir estimer l’énergie que telle ou telle activité va permettre de dépenser. En « référence », il prend une balade en marchant. Cette balade est donc coefficient 1. Coef 0.5 : l’aboiement. Coef 1 : marcher (balade tranquille) Coef 2 : course et sauts Coef 3 : jeux et activités sociales Coef 3 à 5 : les activités de mastication. Coef 5 à 7 : les activités de flair. Coef 7 à 10 : les activités de réflexion. Certaines activités vont dont être faisables en intérieur, prendre peu de temps tout en dépensant beaucoup d’énergie. Petit tour des différentes activités chez le chien Coef 0.5 : l’aboiement Malheureusement pour nos oreilles, un chien qui aboie se fatigue très peu, moins que s’il se promenait tranquillement. Un chien mal dans ses pattes aura donc facilement assez d’énergie pour aboyer des heures et des heures, tout comme celui qui salue vocalement toutes les personnes qui passent devant chez lui. Le tout en attirant les foudres du voisinage sur son propriétaire. Coef 1 : marcher (balade tranquille) Une balade au pas consomme peu d’énergie. En fait, la marche n’est pas le rythme de base d’un chien qui va plus naturellement trotter. Quand il marche à côté de vous, il ressent un peu la même chose que si vous vous marchiez à côté de quelqu’un qui utilise un déambulateur. Pour lui, c’est lent, mais il fait avec. Retrouvez mon article sur les sorties avec son chien pour en savoir plus sur ses besoins de balades. Coef 2 : course et sauts En toute logique, courir et sauter va permettre à notre chien de dépenser plus d’énergie. Les moments où il a la possibilité d’être lâché et de courir comme il en a envie lui seront donc bien plus bénéfiques. Ça leur permet de se défouler mais… ça reste moins énergivore que d’autres activités, contrairement à ce qu’on aurait pu penser. Coef 3 : jeux et activités sociales Pour bien se comporter en société, il faut faire attention à la communication des copains, comprendre ce qu’ils disent, répondre poliment avec de belles postures de chien. Et puis on joue, on court, on fait semblant de se chamailler… voir les potes ça fait toujours du bien. Les interactions positives avec d’autres chiens sont excellentes pour l’équilibre physique, émotionnel et mental de nos chiens. Si vous avez la possibilité de le sortir et de le lâcher avec des congénères, n’hésitez pas. Si vous êtes en ville, il y a souvent des parcs à chiens où ils peuvent être lâchés entre eux (attention à ce que les chiens présents soient des chiens sympas). A défaut, votre jardin ou celui du copain sera déjà un excellent terrain de jeu. Pour les interactions avec d’autres chiens, on va toujours privilégier la qualité à la quantité : il vaut mieux voir peu de chiens mais biens dans leurs pattes que d’en voir plein mais des malpolis ou irrespectueux. Ça doit être une bonne expérience pour notre chien, pas un moment compliqué en société où il ne sait pas où se mettre. Coef 3 à 5 : les activités de mastication et de léchage La mastication Dans la nature, le chien rongerait des os ou d’autres matières animales ou végétales qu’il trouverait dans ses déambulations. En plus de dépenser l’énergie, la mastication apaise les chiens (c’est une des raisons pour lesquelles les chiens qui stressent quand ils sont laissés seuls ont tendance à détruire). A la maison, on peut lui proposer beaucoup de choses à mastiquer. Le site Canigourmand en propose plein et de bonne qualité. Dans les grand principes, un bon truc à mastiquer a plusieurs caractéristiques : il n’est pas en plastique, il n’est pas fabriqué avec plein d’étapes chimiques toxiques, l’objet mastiqué disparait pendant la mastication, et surtout il plait à votre chien. Sabot de veau, cornes, trachées, tendons séchés… en fonction de la taille et des goûts de votre chien, beaucoup de produits […]

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  • Sortir son chien est essentiel pour son bien-être et son équilibre mental. Mais combien de temps ? En tant qu’éducatrice comportementaliste canin, cette question m’est souvent posée et globalement on pourrait y répondre en disant « ça dépend du chien ». Ce qui n’avance pas grand monde… alors le votre, personnellement lui-même, combien de temps faut-il le promener ? Un chien « libre » passe en moyenne entre 5 et 7 heures actif, essentiellement pour rechercher de la nourriture. Cette activité mélange de la marche, l’usage de son odorat, le croisement de congénères, manger… mais il semble compliqué avec nos vies actuelles de leur en proposer autant. Certains chiens ont besoin de beaucoup d’activité, d’autres moins, selon leur race, leur âge, leur tempérament. Aller se promener est essentiel pour eux mais ce n’est pas la seule activité qu’il est bon de leur proposer, loin de là. Je vais vous expliquer pourquoi. Ce qui fait changer le besoin d’activité selon le chien Sa race : certaines races de chiens sont conçus pour garder des troupeaux en étant alerte pendant plusieurs heures par jour ou pour accompagner des humains au travail (police, secours…). Les bergers australiens, les border collie, les malinois sont par exemple des chiens qui ont des besoins plus importants. Sa lignée : certaines races proposent des lignées de beauté, de famille ou de travail. Ce sont des chiens qui sont sélectionnés pour un rôle particulier et de ce fait une endurance particulière. Un malinois de travail aura besoin de plus d’activité qu’un malinois d’une lignée beauté. Son âge : les jeunes ont beaucoup plus besoin de se dépenser que leurs ainés Son rythme de vie et ses activités : un chien qui a un rythme de vie « pépère » aura moins de besoins qu’un chien habitué à suivre sa famille de sportifs dans toutes ses sorties. Lui : chacun est différent, sur une même portée on va trouver des chiots qui deviendront des chiens plus énergiques que d’autres. Le mieux pour savoir de quoi notre chien a besoin est de noter ce qu’on lui a proposé sur une semaine et de voir s’il est bien dans ses pattes ou s’il a encore de l’énergie à revendre. Faut-il sortir son chien tous les jours ? En appartement la question ne se pose pas, mais quand on a un jardin la tentation de simplement le laisser faire ses besoins dans son carré d’herbe est souvent là. Alors non, il n’est pas indispensable de sortir son chien tous les jours quand il a la possibilité de faire ses besoins dans le jardin. Il peut tout à fait se passer d’une sortie dans la rue notamment quand la météo ne s’y prête pas. Au minimum, il faut promener son chien au moins un jour sur deux en moyenne. Idéalement il faudrait une balade chaque jour. On essaye plutôt de trouver un équilibre à la semaine. Pourquoi le jardin, même s’il est grand, ne suffit pas ? Repensez au confinement. Vous ne pouviez pas sortir et, malgré votre chouette maison et votre jardin, l’extérieur vous manquait. Maintenant je vous confisque en plus votre smartphone et je coupe Internet. C’est encore pire, là, vous êtes vraiment seul ou avec les mêmes personnes chaque jour et aller dehors va probablement très vite beaucoup vous manquer. Pour le chien, c’est un peu pareil. Le jardin, votre chien le connaît vite par cœur. Il en sait toutes les odeurs, c’est un lieu sympa mais sans surprise. Et quand vous n’êtes pas avec lui dans le jardin, c’est encore plus terne. Et puis c’est un animal sociable, il a besoin de voir du monde. Dehors, tout un monde d’odeurs l’attend, un monde que vous ne pouvez pas comprendre tout comme lui ne comprend pas ce que vous avez avec ce fichu téléphone. Mais c’est sensiblement la même chose : nous regardons nos écrans, eux sentent les odeurs. Combien de temps faut-il sortir son chien ? En moyenne, on peut considérer que les chiens ont besoin de 5 à 7heures d’activité par jour mais il n’est probablement pas possible pour vous de leur proposer 7h de sortie quotidienne et ce tous les jours de la semaine. Si la balade est importante, elle ne fait pas tout et pour certains chiens elle ne pourra jamais combler totalement leur besoin de dépenses physiques. En termes de durée, on peut donner un minimum de 30 minutes de sortie avec son chien, et au moins une balade d’une heure dans la semaine. Ça va aussi dépendre de ce qu’on lui propose d’autre comme activité dans sa journée et dans la semaine. Et oui, même les petits chiens, même ceux qui sont volontiers à se prélasser sur le canapé sont concernés. La balade de mon chien, en laisse, en longe, en liberté ? L’idéal, c’est la liberté en pleine nature. Au moins une heure une fois par semaine, avec des congénères sympas si possible. Si vous ne pouvez pas lâcher votre chien, prévoyez une longe. Une étude a démontré que plus la longe était longue (jusqu’à 10m), plus la balade était bénéfique pour le chien. Vous pouvez aussi utiliser une laisse à enrouleur mais contrairement à la longe on ne peut pas le laisser trainer au sol. En milieu urbain, j’utilise une laisse trois points de 2m. Elle peut se régler à trois longueurs différentes et se mettre en bandoulière, ce qui me permet de gérer ce que je peux laisser comme amplitude à mes chiens en fonction d’où je suis, de la largeur du trottoir ou de la présence de gens ou de chiens. Sortir un chien avec une laisse courte type poignée de 30cm n’a aucun intérêt pour lui. Il doit pouvoir bouger, prendre les odeurs… Nous, humains, ça nous parait répugnant mais c’est important pour nos chiens, c’est comme consulter leurs mails et leurs réseaux sociaux. Pourquoi certains chiens ne sont jamais fatigués après une balade ? Certains chiens ont besoin de beaucoup se dépenser, après une balade, même de plusieurs heures, il se peut qu’ils […]

    […]
  • Tous les ans, plusieurs centaines de personnes en France se forment pour devenir moniteur en éducation canine. Leur rôle est essentiel dans la cynophilie car les clubs contribuent chaque année à l’éducation de milliers de chiens mais aussi à la pratique des sports et loisirs canins comme l’Agility, le mordant, les Hoopers ou le Dog Dancing. Leur particularité : ils sont bénévoles, et officient dans les clubs canins qui sont des associations loi de 1901. Se former pour devenir moniteur en éducation canine La formation de base, nommée MEC1, « Moniteur en Education Canine niveau 1 » dure 3 weekends. Depuis 2018, j’ai la chance d’avoir été nommée par la Centrale Canine pour animer les stages. Ils comportent une partie connaissance du chien, une partie animation de cours, une journée avec un vétérinaire pour parler santé et se terminent par un jour consacré à un examen à la fois théorique et pratique. Sur ces formations, je suis moi aussi bénévole. Je me balade cette année dans plusieurs villes en France pour animer les stages. Le point commun des participants ? la passion pour les chiens et l’envie de transmettre les clés d’une vie harmonieuse avec son chien à leurs adhérents. Le weekend d’examen est toujours un moment intense : les candidats sont souvent très stressés. Pourtant, cet « examen » ne changera pas leur vie, leur travail ou salaire n’en dépend pas. Ils y tiennent, par passion, et bon nombre d’entre eux se mettent la pression. Ils veulent l’avoir, et avec de bonnes notes ! Des stages complémentaires pour aller plus loin La CNEAC propose deux autres stages pour compléter cette formation de base : la formation Ecole des chiots et le MEC2 (deuxième degré) pour permettre de mieux gérer les chiens plus compliqués. Il y a aussi les monitorats des différentes disciplines. Pour en savoir plus sur cette formation, retrouvez mon article dédié au MEC1et celui pour le MEC2 Les dates des stages que j’anime sont en page d’accueil. Si l’aventure vous tente, vous pouvez retrouver les prochaines dates de stage sur le site de la CNEAC Idéalement, tous les moniteurs en éducation canine présents sur le terrain devraient avoir au moins le MEC1 et le monitorat de la discipline qu’ils enseignent. Malheureusement, dans beaucoup de clubs les moniteurs ne sont pas tous formés. La Centrale Canine, de la CNEAC ou de la CUN-CBG ou les Territoriales canines n’ont pas la possibilité de l’imposer. Cela vient notamment du fait que les clubs sont des associations indépendantes. Cela explique aussi les différences de pratiques et de compétences que l’on peut trouver d’un club à l’autre. Le rôle des moniteurs en éducation canine Pour notre chien, leur rôle commence dès le plus jeune âge à l’école des Chiots. C’est un cours destiné à apprendre les bases de la vie pour notre chiot mais aussi l’occasion pour les gardiens d’en savoir plus sur le nouveau membre de leur famille. Les moniteurs vont aussi accompagner les chiens et leurs adhérents à travers l’adolescence, une période pas forcément évidente pour les uns comme pour les autres. L’éducation peut aussi continuer après avec les adultes, que ce soit pour entretenir ou pour acquérir les bases pour les chiens qui n’ont pas eu de cours auparavant. Une fois adultes, souvent c’est le temps des sports canins, toujours encadrés par nos précieux moniteurs bénévoles. Agility, mordant, pistage, dog dancing… tous les sports canins font l’objet de monitorats spécialisés. Moniteur, éducateur, comportementaliste canin… quelle différence ? Il n’y a pas en France de diplôme requis pour se dire éducateur ou comportementaliste. Pour avoir le droit de travailler de façon rémunérée avec des animaux de compagnie, il faut passer l’ACACED des espèces avec lesquelles on souhaite travailler. Une fois cette petite formation de deux jours terminée, il est possible de se prétendre aussi bien éducateur, éducateur comportementaliste, comportementaliste ou encore coach canin car aucun de ces noms n’est protégé par une loi ou par une marque déposée. Pour savoir si quelqu’un est compétent, la seule solution est d’aller regarder son CV, ses formations et son parcours. En club, c’est le règlement intérieur du club et son comité ou son bureau qui décident de qui peut donner des cours. Le monitorat n’est pas obligatoire. La principale différence pour le moniteur en éducation canine vient donc du fait qu’il exerce en club canin. Certains sont moniteurs certains jours, éducateurs professionnels d’autres jours. En tant que bénévole, il n’a pas d’obligation à passer l’ACACED. Beaucoup de pros du chien sont passés par des clubs canins, de base pour éduquer leur chien, ensuite en tant que moniteurs. Le club est un très bon endroit pour se former car il y a beaucoup de chiens et besoin de bénévoles. Des bénévoles qui s’entraident et qui vont aussi contribuer à former les nouveaux. Les débutants peuvent commencer par observer les cours sans leurs chiens, puis coanimer. Une fois qu’il seront assez compétents et à l’aise, ils pourront se lancer seuls sur le terrain. Les challenges en club canin pour les moniteurs Un cours, c’est comme une boite de chocolats, tu ne sais pas ce qu’il y a dedans tant que tu n’as pas ouvert la boite… Voilà à quoi pourrait ressembler la définition d’un cours collectif un samedi. Certains adhérents sont très studieux et présents toutes les semaines, d’autres beaucoup moins. Des binômes travaillent à la maison, d’autres pas du tout… Certains progressent bien et d’autres pas vraiment… Et il faut composer avec. Etre moniteur en club canin, c’est pouvoir chaque fois s’adapter au groupe qui vous est attribué, réussir à les faire progresser sans s’ennuyer, se renouveler d’une semaine à l’autre. C’est gérer les adhérents et leurs différents tempéraments tout en gardant le sourire. C’est aussi faire partie d’une équipe, avec tous les autres moniteurs du club, savoir quand se concerter, quand passer ou reprendre la main… Cette expérience est très formatrice. Etre moniteur c’est aussi faire partie d’une association, composer avec les humains, les caractères, les potins, les ambitions… Dans beaucoup de clubs cela se passe […]

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  • Aujourd’hui on voit encore des éducateurs et des clubs qui utilisent la violence pour éduquer ou rééduquer un chien. On parle beaucoup des Intelligences artificielles et je me suis demandé quel était leur avis sur la question. J’ai demandé à ChatGPT. De toute évidence, cette IA a choisi son camp. Ma question : « Pourquoi certaines personnes disent que pour éduquer un chien il faut le frapper ? » La réponse de Chat GPT : « Il est important de souligner que l’utilisation de la violence physique pour éduquer un chien est largement déconseillée et inacceptable. Voici quelques raisons pour lesquelles certaines personnes peuvent avoir cette fausse croyance : Manque de connaissances : Certaines personnes peuvent ne pas avoir accès à des informations correctes sur les méthodes d’éducation canine positives et efficaces. Elles peuvent donc se tourner vers des méthodes punitives par ignorance. Tradition ou culture : Dans certaines cultures ou régions, des méthodes de dressage plus brutales peuvent être considérées comme traditionnelles, mais cela ne signifie pas qu’elles sont justifiées ou appropriées. Frustration : Les propriétaires de chiens peuvent devenir frustrés par des comportements indésirables de leur animal, ce qui peut les amener à recourir à des méthodes punitives par impuissance. Il est important de noter que l’utilisation de la violence envers un chien est non seulement cruelle, mais elle peut également entraîner des problèmes comportementaux plus graves et nuire à la relation entre le chien et son propriétaire. Les méthodes d’éducation positives, basées sur la récompense, le renforcement positif et la compréhension du comportement canin, sont beaucoup plus efficaces et respectueuses. Si vous avez des préoccupations concernant le comportement de votre chien, il est préférable de consulter un professionnel de l’éducation canine ou un comportementaliste canin pour obtenir de l’aide. » J’ai ensuite voulu en savoir plus sur le pourquoi de cette réponse, j’ai demandé des précisions à l’IA Ma question : Pourquoi pour éduquer les chiens les méthodes d’éducation positives (basées sur la récompense, le renforcement positif et la compréhension du comportement canin) sont beaucoup plus efficaces ? Chat GPT : « Les méthodes d’éducation positives sont généralement considérées comme plus efficaces pour plusieurs raisons : Renforcement du bon comportement : Plutôt que de punir le mauvais comportement, les méthodes positives se concentrent sur le renforcement du bon comportement. Les chiens apprennent plus rapidement lorsqu’ils sont récompensés pour faire quelque chose de bien. Relation renforcée : Les méthodes positives renforcent la relation entre le propriétaire et le chien. Les récompenses créent une association positive, et le chien est plus susceptible de coopérer volontairement. Compréhension du chien : En comprenant le comportement naturel des chiens, on peut mieux répondre à leurs besoins et adapter l’éducation en conséquence. Cela favorise un apprentissage plus rapide et moins stressant. Réduction du stress : Les méthodes positives minimisent le stress chez le chien. Les punitions physiques peuvent causer de l’anxiété et de la peur, entraînant souvent des problèmes comportementaux supplémentaires. Consistance et prévisibilité : Les récompenses offrent une constance et une prévisibilité dans l’éducation du chien. Les chiens comprennent plus clairement ce qui est attendu d’eux et sont plus enclins à coopérer. Adaptabilité : Les méthodes positives sont plus adaptables à différents types de chiens et de situations. Elles permettent de personnaliser l’approche d’éducation en fonction des besoins spécifiques de chaque chien. En résumé, les méthodes d’éducation positives créent un environnement d’apprentissage positif, favorisent une relation harmonieuse entre le chien et son propriétaire, et sont plus susceptibles de produire des résultats durables. » Si une IA peut comprendre ça, il serait peut être temps que certains reconsidèrent leurs façons de travailler…

    […]

Prochains stages officiels CNEAC

  • 17-18 mars Monitorat Mec1 Stage 1 MONTBARD (Bourgogne), suite en avril et mai
  • 24-25 mars Monitorat Mec2 Stage 1 Challans (Vendée), suite en avril et mai
  • 8-9 juin Monitorat Ecole des Chiots Durtal (Maine et Loire)
  • 14-15 septembre Monitorat Mec1 Stage1 Saint Martin la plaine (Loire), suite en octobre novembre

Petites phrases

Il y a les chiens "sages" et il y a les autres. J'aime travailler avec ces "terreurs à 4 pattes" car je sais à quel point le quotidien avec eux peut être difficile pour eux et pour leurs maîtres. Des maîtres qui malgré tout les adorent. Là, on peut vraiment faire la différence, pour eux et leur chien.

L'éducation d'un chien... ça parait simple et pourtant ! parfois, il suffit d'une petite astuce pour corriger un comportement ou obtenir le résultat que l'on souhaite en sport canin, mais sans cette astuce, on peut parfois tourner longtemps ! et des astuces, j'en ai plein ;)

Pascaline Educatrice